Tenu, mardi, au palais du gouvernement à la Kasbah, sous la présidence de la cheffe du gouvernement, Najla Bouden, un conseil ministériel restreint (CMR) s’est penché sur l’examen des différents programmes nationaux liés à l’autonomisation et à l’intégration économiques.
Selon un communiqué de la présidence du gouvernement, le conseil ministériel a également permis d’examiner les différents aspects de la pauvreté, particulièrement dans les domaines de l’éducation, la santé, l’agriculture, l’enfance, la femme, la famille, de la jeunesse, de l’emploi et de la formation. Il a été aussi l’occasion de passer en revue les différents programmes, les mécanismes de leur mise en œuvre ainsi que les critères de leurs bénéficiaires.
Il a été en outre question de débattre des moyens de revoir à la hausse le nombre des bénéficiaires. Ainsi que le volume des fonds alloués à ces programmes à caractère social. L’objectif étant d’autonomiser les catégories à faible revenu, de préserver leur pouvoir d’achat et de renforcer leur résilience face aux « contraintes économiques actuelles », de manière à garantir leur indépendance économique.
D’autre part, le Conseil ministériel a permis d’exposer un échantillon de nouveaux programmes visant à réduire les phénomènes de la migration irrégulière et du décrochage scolaire précoce.
Il a également été l’occasion de passer en revue les moyens permettant d’accéder aux différents services de base, de manière à garantir la stabilité de la famille, outre l’examen des programmes tendant à traiter d’autres aspects de la pauvreté liés à la sécurité alimentaire, sanitaire et énergétique.
Avec TAP