En Algérie, le ministre du Commerce, Kamel Razik, a apprécié ce week-end, les décisions de l’Etat algérien de suspendre l’importation de « produits agricoles », et que cela a stimulé les investisseurs paysans à redoubler d’efforts et de travail. Les effets de cela se sont manifestés dans les quantités de la production qui a doublé. Elle couvre désormais les besoins du marché national, que ce soit en légumes ou en fruits, et a considérablement réduit la facture des importations, et même de nombreuses matières sont devenues exportables vers les marchés étrangers.
Razik a ajouté que l’Algérie a pu, grâce à cette vision et à la politique adoptée, parvenir à l’autosuffisance en toutes sortes de fruits, qui coûtaient autrefois à l’Etat des devises fortes, sans compter le fruit « banane », qui connaissait aussi une réduction du montant de ses importations s’élevant à environ la moitié. Réduction de l’importation de bananes de 320 000 tonnes à 160 000 tonnes.
Dans le cadre de sa déclaration, il a déclaré que le gain d’atteindre l’autosuffisance s’est également étendu à certains types de « plants d’arbres fruitiers « . L’objectif souligné est la possibilité de les « exporter » vers les marchés internationaux, pour augmenter et diversifier la valeur et les revenus des exportations du pays.
De son côté, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Abdelhafedh Mohamed, a révélé être en train d’incarner des projets ambitieux, qui ont une demande locale et internationale.
À titre d’exemple, il a déclaré que dans le cadre d’un partenariat algéro-italien dans plusieurs régions du pays s’orientent vers la culture des « arganiers », dans des zones qui se caractérisent par un environnement propice à sa croissance, pour en produire et en extraire de l’huile d’argan « l’or vert », et l’exploitation même de son bois, qui est connu pour être exploité dans la fabrication d’objets en bois, et même d’ustensiles et d’ornements.