“Contrat de fidélité“ ou “fidélité garantie“ ? Il est des blagues qu’il faudrait éviter. Toutefois d’autres contiennent une morale sociale à ancrer dans les mœurs. C’est notamment celle que nous allons vous raconter ci-dessous qui pourrait inspirer plus d’un dans le monde. Surtout celles et ceux qui n’ont pas la maîtrise de leur cabine technique!
C’est une blague plutôt une boutade qui sonne pourtant comme vrai. Et comme tout le monde le sait, la Toile raffole les faits divers, les histoires à peine incroyables, des fictions plus vraies que la vérité.
On vous explique les tenants et les aboutissements de cette affaire de «… contrat de fidélité » qui a provoqué de multiples réactions sur les réseaux sociaux.
Et c’est CeciArmy, spécialiste dans le partage de vidéos virales, avec sa forte présence sur plusieurs plateformes comme Twitter et Instagram, qui a sans doute donné un coup de fouet à cette blague à inscrire dans les mœurs « positives » !
En effet, il s’agit d’une jeune femme espagnole dénommée Veronica, qui serait juriste, c’est ce qu’elle affirme. C’est donc en cette qualité de « professionnelle du droit » qu’elle aurait élaboré/rédigé un contrat de fidélité infaillible avec son chéri.
Jusque-là, l’histoire tient la route, formellement en tout cas.
Selon le magazine linfo.re qui rapporte cette histoire, l’Espagnole indique avoir « inclus différentes amendes en cas de trahison de son chéri, nommé Gabriel ».
Elle explique : « Chaque faute a un coût bien spécifique. Les amendes débutent à partir de 500 euros : une discussion coquine avec une autre personne. Pour un baiser, l’infidèle pourrait payer jusqu’à 2 000 euros. La sanction peut monter jusqu’à 5 000 euros pour la tromperie ultime, à savoir les relations très intimes ».
Et ce n’est pas, notre Veronica semble avoir pris toutes les précautions nécessaires afin de minimiser les risques de tromperie.
Ainsi, dans le “contrat“ on y voit des « dates de péremption concernant les aveux qui ne devraient pas dépasser quinze jours. En cas de mensonges, chaque jour de retard est facturé 50 euros ».
Seulement voilà, Veronica et Gabriel (pas l’ange), au vu de la tournure qu’a prise leur blague sur les réseaux sociaux, ont fini par avouer que « c’était à la base une façon d’annoncer le début de leur histoire d’amour ».
Peu importe. Supposons maintenant que toutes celles et tous ceux qui souhaitent se marier où s’unir – quelle que soit la forme que cela prend – rédigent un contrat synonyme à celui de notre couple espagnol. Imaginez ce que cela apporterait comme tranquillité d’esprit dans les relations de couple. Il y aurait peut-être moins de soupçons d’infidélité, en tout cas moins de risque de tromperie,
Pour une fois donc, nous pensons que la Toile a servi à quelque chose de très positif dans les relations sociales, de couple… au lieu de les détruire!