L’ancien procureur de la République près le Tribunal de première instance de Tunis, Béchir Akremi, et le dirigeant au sein du parti islamiste Ennahdha, Habib Ellouze, resteront en prison.
Ainsi en a décidé la Chambre d’accusation spécialisée dans les crimes terroristes près la Cour d’Appel de Tunis, en rejetant leur demande de libération.
Rappel des faits
Des soupçons pèsent sur Béchir Akremi concernant des dépassements dans le traitement deux dossiers d’assassinats politiques : ceux des martyrs Chokri Belaïd, le 6 février 2013, et Mohamed Brahmi, le 25 juillet 2013.