La société britannique Chariot a révélé, mardi 19 septembre, de nouveaux développements dans les projets gaziers marocains. En annonçant son intention de forer de nouveaux puits; alors qu’elle se prépare à démarrer la production de certains gisements au cours de la période à venir.
Selon les données publiées mardi 19 septembre, l’entreprise britannique va se développer à long terme dans tous ses projets, notamment les projets gaziers marocains. Car elle est pleinement concentrée sur la mise en œuvre de ses objectifs fondamentaux de réduction des risques commerciaux, permettant davantage croissance et assurer la production à court terme.
L’entreprise énergétique britannique – qui se concentre sur l’Afrique – annonce également que les résultats de ses travaux au cours du semestre se terminent le 30 juin 2023. Alors qu’elle a continué à progresser dans tous les axes de travail de ses projets tout au long de cette période, en plus de renforcer son portefeuille.
L’entreprise a affirmé son intention de jouer un rôle important dans le développement de sources d’énergie durables, stables et sûres qui peuvent contribuer à stimuler la croissance économique et contribuer à un avenir plus propre. C’est ce qui ressort d’un communiqué publié sur le site officiel.
Projets gaziers marocains
A cet égard, notons que Chariot possède trois licences de production de gaz au Maroc, avec une participation et une exploitation de 75 %. En plus de l’Office national des hydrocarbures et des minéraux du pays, qui détient une part de 25 %.
Ces licences comprennent à la fois : la licence du champ offshore Lixus, qui abrite le développement du champ gazier d’Anchoa; la licence offshore Resana, qui entoure le champ Lixos et capture une exploration plus en amont; et la licence onshore Lixos, qui est adjacente à la mer et partage un environnement géologique commun avec lui.
Grâce aux licences, Chariot dispose d’un portefeuille physique diversifié avec un accès à des marchés attractifs. Ainsi qu’un potentiel de hausse à l’échelle du bassin soutenu par des ressources gazières marocaines à faible risque.