Respecter la souveraineté de la Tunisie et celle de l’Egypte. C’est à quoi la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni appelle dans une déclaration accordée aux médias.
Ainsi, Giorgia Meloni explique son avis sur la question. Pour elle, il n’est pas possible de mener des discussions avec les institutions d’un pays dans une démarche paternaliste, tout en exerçant un air de supériorité. Elle s’exprimait ainsi dans le cadre des Travaux du Conseil européen. Dans le même contexte, elle indique que le partenariat stratégique impose un certain degré de respect. Alors, sans préciser de qui il s’agit, elle indique que certains pays européens ont tenté de « déclarer la Tunisie un pays dangereux ». Pour elle, la raison n’est autre que d’empêcher l’Europe de toute possibilité de contrôler le flux migratoire.
Par ailleurs, elle indique que le partenariat doit englober d’autres aspects. Lesquels sont également la capacité d’investir; mais aussi les options de migration légale. Tout cela demande « un travail acharné », poursuit-elle.
Enfin, Gorgia Meloni estime qu’il n’est point suffisant de demander à des pays comme l’Egypte et la Tunisie de se contenter de contrôler la migration clandestine.