Les climatologues sont formels : 2023 sera sans doute l’année la plus chaude de l’histoire, après un mois de novembre « extraordinaire ». Lequel devient le sixième mois consécutif à battre d’anciens records.
C’est en tout cas ce que relaie le service européen de surveillance du climat Copernicus. Il met ainsi, par ricochet, la pression sur les négociations climatiques de la COP28 à Dubaï.
Bon timing, dirait l’autre.