Les candidats de la circonscription (Ezzouhour/Tunis 2), Ahmed Hammami, Faten Smâali et Lassâad Dahman ont tous les trois axés leurs programmes sur l’encadrement des jeunes, avec des propositions susceptibles d’augmenter les opportunités d’intégration dans la vie professionnelle et économique.
La candidate Faten Sommâali, qui a opté pour un slogan de campagne « Notre force au service de nos Imadas », a déclaré qu’elle œuvre à mettre en place un centre de traitement de la toxicomanie et à contribuer à la prévention contre la drogue.
Elle suggère, également, de donner une nouvelle dynamique à la maison de la culture de la localité dont les activités ne servent, ni la jeunesse ni la culture, selon elle.
Du côté de l’environnement, elle s’est engagée à œuvrer pour des solutions rapides et radicales au problème des déchets ménagers et des gravas entassés dans la région.
Les candidats d’Ezzouhour/Tunis 2, Ahmed Hammami, Faten Smâali et Lassâad Dahman, mettent l’accent sur l’encadrement des jeunes.
Dans son programme électoral, le candidat s’intéresse, lui aussi à l’encadrement des jeunes du côté économique à travers la création d’une jeune chambre économique, les aidant à réaliser leurs propres projets, faisant observer que plusieurs jeunes porteurs d’idées de projets, n’ont pas suffisamment d’expériences pour se lancer ou accéder au financement nécessaire.
Il propose, l’aménagement d’une salle d’exposition pour permettre aux femmes de commercialiser leurs leurs produits, affirmant l’engagement à solliciter la Banque Tunisienne de Solidarité (BTS) et les associations de développement à l’effet d’obtenir des microcrédits pour les aider à développer leurs projets.
Dans son programme électoral, le candidat Ahmed Hammami journaliste, propose l’aménagement d’un stade de football à l’école Bouakkez lequel doit être exploité avec une contrepartie pouvant générer des revenus en faveur de l’école.
Il propose, également, l’élaboration de lois spécifiques relatives à la monnaie numérique qui peut être une solution pour les jeunes de la localité et de la jeunesse tunisienne en général, estime-t-il.
Avec TAP