La Chambre correctionnelle 15 de la Cour d’appel de Tunis a confirmé le jugement de première instance qui a statué sur le non-lieu dans l’affaire impliquant Sami Tahri, membre du bureau exécutif de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), dans le cadre de la plainte déposée contre lui par l’activiste Imed Daïmi.
Il est à noter qu’Imed Daïmi avait déposé une plainte au pénal contre Sami Tahri. Et ce, pour diffamation, dénigrement, fausses accusations et atteinte à autrui, concernant des publications faites par ce dernier au sujet du plaignant.
Il a été maintenu en liberté sous contrôle judiciaire et a été renvoyé devant la Chambre correctionnelle de première instance, qui a décidé de ne pas statuer. Selon les informations disponibles, la décision de première instance a été portée en appel. Cependant, la chambre correctionnelle de première instance a rejeté l’appel « formellement », confirmant ainsi le jugement de première instance.