Selon l’agence palestiniennes de presse WAFA, le Bureau central des statistiques a rapporté que cette année la Palestine a subi le bilan le plus lourd en pertes humaines depuis la Nakba de 1948.
La Palestine vit un génocide dont la négation équivaut à de la cruauté. En effet, depuis le début de cette année, le nombre des martyrs est de 22 404, dont (22.141) depuis le fameux 7 octobre 2023 ( dont environ 9 000 enfants et 6 450 femmes). L’Etat hébreu n’a pas épargné la Cisjordanie avec 319 martyrs, dont 111 enfants et 4 femmes.
Le registres du ministère de la Santé évoque plus de 7 000 personnes portées disparues, dont 67% d’enfants et de femmes. Selon la même source, plus de 100 journalistes ont également été tués.
La souffrance des Gazaouis ne s’est pas limitée à ça. En effet, avant le 7 octobre, chaque personne consommait en moyenne environ 82,7 litres d’eau par jour dans la bande de Gaza, mais depuis cette date, cette quantité a chuté de manière spectaculaire, allant de seulement 1 à 3 litres par jour et par personne. Cette diminution drastique met en lumière un grave problème d’accès à l’eau dans la région, impactant considérablement la vie quotidienne et la santé des habitants.
La commission des affaires des prisonniers et ex-prisonniers a déclaré que jusqu’à la fin de l’année 2023, 7 800 Palestiniens croupissent dans les prisons israéliennes, dont 76 femmes et 260 enfants.
Selon la même source, le nombre de détenus administratifs (détenus sans inculpation) a atteint (2 870).