La Chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis a refusé de libérer l’ancien porte-parole du ministère de l’Intérieur, Mohamed Ali Aroui, et a reporté son procès à une date ultérieure. Il convient de noter que le juge d’instruction du tribunal de première instance de Tunis avait émis un mandat de dépôt à l’encontre de Mohamed Ali Aroui, ancien responsable de la sécurité, tout en maintenant en liberté trois autres accusés.
A cet égard, le premier juge d’instruction du bureau 11 du tribunal de première instance de Tunis avait, le 27 juillet 2023, pris la décision de clore l’enquête en abandonnant les charges contre l’ancien porte-parole du ministère de l’Intérieur, Mohamed Ali Aroui, dans le cadre de l’affaire concernant les soupçons de blanchiment d’argent en exploitant les facilités accordées par les caractéristiques de l’activité professionnelle et en s’appropriant les biens d’autrui par la menace.