La Chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis a rendu, vendredi 23 février 2024, un jugement par contumace dans lequel elle condamne l’ancien président provisoire Moncef Marzouki à une peine de huit ans de prison, avec exécution immédiate.
L’affaire porte sur un enregistrement vidéo attribué à Marzouki, dans lequel il appelait au « soulèvement contre le régime » et à la désobéissance civile contre le président de la République, Kaïs Saïed.