Afef Hammami, médecin, a indiqué lundi 11 mars que la baisse du taux de glycémie figure parmi les impacts les plus importants du jeûne pendant le mois de Ramadan, engendrant un état de fatigue et une somnolence.
Elle a ajouté que la déshydratation du corps est également l’une des causes de somnolence, pouvant même entraîner une sensation de fatigue, et provoquer des perturbations du sommeil (durée et qualité) et des hormones et engendrer ainsi une certaine irritabilité à cause des déséquilibres alimentaires causés par le jeune.
Elle a souligné la nécessité de boire des quantités importantes de liquides tout au long de la période de l’iftar et du sohour (début du jeûne), de ne pas annuler le repas du sohour et de manger des aliments riches en glucides complexes tels que les pâtes et le pain, en plus de prendre un repas équilibré et d’organiser les heures de sommeil.
Avec TAP