Dans les pays du Maghreb et ailleurs, les taux d’intérêt bancaires sont souvent jugés “très élevés“. Mais pour l’Algérie, cela pourrait changer, comme le veut du reste le président algérien, Abdelmadjid Tebboune.
Pour ce faire, il a chargé son ministre des Finances, lors d’une réunion du Conseil des ministres, « de réviser les taux d’intérêt bancaires élevés, incompatibles avec la politique d’encouragement de l’investissement ». C’est ce qu’il ressort d’un communiqué du Conseil des ministres. Il le fera en coordination avec la Banque centrale d’Algérie et l’Association des banques et des établissements financiers.