Et puisque nous parlons de dividende, il faut bien s’arrêter sur les chiffres record de cette année. En attendant CitiBank et la STB, les actionnaires doivent partager 756,536 MDT, un record.
Ces montants ne sont pas immédiatement investis en actions. Une bonne partie trouve refuge dans les OPCVM et atterrissent, généralement, dans des placements obligataires.
D’ailleurs, le choix de cette période pour lancer un emprunt obligataire national est bon, car il serait difficile de trouver un meilleur rendement que celui offert par la seconde tranche actuellement en souscription. Le superprofit des banques profite à tout le monde.
Source: BE (L’Economiste maghrébin N°894)