Le mouvement « Tunisie en Avant » a souligné la nécessité de réviser le décret 54, notamment son article 24. C’est ce que l’on peut lire dans un communiqué rendu public par le parti politique.
Le parti a regretté « la lenteur des démarches visant à la réalisation des objectifs du 25 juillet, en particulier en ce qui concerne les objectifs socio-économiques ». Il rappelle également l’importance de l’achèvement des institutions constitutionnelles. Tunisie en Avant, présidé par Abid Briki, évoque des tentatives de créer un climat de tension à l’approche de l’élection présidentielle.
Le parti de gauche plaide pour la souveraineté nationale et condamne « toute ingérence étrangère ».