Le porte-parole de l’Instance supérieure indépendante pour les élections Mohamed Tlili Mansri a expliqué lundi que le contrôle de l’espace public durant la période électorale, qui a débuté dimanche 14 juillet, concerne les réseaux sociaux, la presse écrite et électronique et les médias, publics et privés.
L’Instance des élections a annoncé, dimanche, avoir entamé le contrôle de l’espace public à l’occasion du démarrage de la période électorale (le 14 juillet) et qui se poursuivra jusqu’à l’annonce des résultats définitifs de l’élection présidentielle.
Mansri a affirmé que ce contrôle qui débute deux mois avant la campagne électorale est régulé par la loi électorale et les décisions réglementaires publiés par l’instance.
Le contrôle concerne, notamment, l’interdiction de la publicité politique (article 3, 57 et 154 de la loi électorale) et de la publication des résultats de sondages d’opinion en lien avec l’élection présidentielle, a-t-il précisé.
Il a ajouté que les unités relevant de l’instance chargées du contrôle de l’espace public sont chargées de relever les discours haineux et la désinformation politique et des électeurs, et ce conformément aux lois en vigueur.
Ces unités transféreront, par la suite, les dépassements collectés à l’instance qui se chargera de les transférer, à son tour, au ministère public, le cas échéant .
Il a ajouté que jusqu’à dimanche 14 juillet, 58 candidats à la présidentielle ont retiré le formulaire de parrainage.
Avec TAP