Le bureau exécutif de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), réuni samedi 31 août en urgence, a condamné la tentative d’irruption au siège de l’UGTT à Tunis et d’agression de son secrétaire général adjoint, Samir Chefi, par un groupe qui, selon lui, « appartient à une organisation parallèle ».
« Le recours à la violence physique après des mois de violence verbale à l’encontre des syndicalistes est un indicateur grave selon lequel, les agresseurs ont reçu le feu vert pour attaquer le syndicat », a indiqué l’UGTT dans son communiqué.
« Cette agression a été préparée et planifié à l’avance », ajoute la centrale syndicale, imputant aux autorités la responsabilité de toute attaque contre le syndicat.
L’UGTT a souligné sa disposition à défendre ses adhérents et à protéger son siège, annonçant sa décision de poursuivre pénalement les agresseurs.
Avec TAP