Mondher Zenaidi, candidat à la présidentielle a contesté les décisions de l’Instance supérieure Indépendante des Élections (Isie) qui l’ont exclu, lui ainsi que deux autres candidats, Abdellatif Mekki et Imed Daïmi, de la liste finale des candidats pour l’élection prévue le 6 octobre.
Malgré une décision favorable du Tribunal administratif qui avait réintégré ces candidats, l’Isie a justifié son exclusion par le non-respect d’un délai légal de communication de 48 heures.
Dans un communiqué, l’équipe juridique de Zenaidi a dénoncé cette décision comme étant arbitraire et contraire à la loi, affirmant que leur client n’était sous aucune poursuite judiciaire qui pourrait l’empêcher de se présenter. Ils ont également critiqué l’Isie pour son manque d’indépendance et ont annoncé leur intention de faire appel auprès du Tribunal administratif.
En parallèle, Ayachi Zammel, un autre candidat, a été interpellé à son domicile pour des soupçons de faux parrainages.