Kamala Harris, candidate à la présidence américaine, est confrontée à des critiques croissantes concernant son expérience et ses performances face à la presse. Malgré une collecte de fonds impressionnante et un soutien notable dans certains sondages, son adversaire Donald Trump semble regagner du terrain, rendant la course électorale de plus en plus serrée. Elyes Kasri, ancien ambassadeur et analyste politique a mis l’accent sur les enjeux politiques exacerbés par des tensions internes aux États-Unis, notamment autour de l’immigration et des menaces potentielles contre Trump. Ce qui pourrait avoir des répercussions profondes sur la stabilité du pays. Voici le post d’Elyes Kasri.
« Si Kamala Harris, descendante, du côté paternel de marchands d’esclaves irlandais établis en Jamaïque et du côté maternel de la caste BRAHMANE qui se considère supérieure aux autres castes hindouistes avec une pointe prononcée de racisme, devait remporter l’élection présidentielle américaine du 5 novembre, en dépit de son incompétence de plus en plus frappante à mesure qu’elle fait face à la presse américaine avec le minimum de trucage et de partialité, ce serait une victoire éclatante du complexe militaro-industriel et des cercles sionistes et néo conservateurs globalistes.
En plus du harcèlement juridique et des tentatives d’assassinat de son adversaire républicain dans une atmosphère de parti pris flagrant de la presse libérale américaine et occidentale contre le candidat Trump, la campagne de la candidate Harris a réuni la somme faramineuse et exceptionnelle d’un milliard de dollars.
Un(e) président(e) novice et incapable de voler de ses propres ailes est le candidat idéal de l’Etat profond américain et globaliste en plus des marchands d’armes et de guerres sionistes.
Bien que les sondages semblent pencher du côté du candidat républicain Trump, l’envergure des enjeux pourrait prendre le dessus sur la façade démocratique du système politique américain.
Alors que l’affaire des migrants notamment au Texas avait mis récemment les Etats-Unis au bord d’une nouvelle guerre de sécession, la liquidation physique ou politique du candidat Trump, qu’il ne faudrait pas exclure, risquerait de mettre le feu aux poudres aux Etats-Unis d’Amérique, accélérant ainsi le déclin américain et occidental qui se profile sur les plans de l’érosion de la légitimité morale, de la perte de la domination économique et monétaire à la faveur de l’émergence des BRICS et de la déconfiture de l’omnipuissance militaire américaine et otanienne en Europe et bientôt en Asie.
La frénésie génocidaire israélienne au Moyen-Orient pourrait n’être en fin de compte que les spasmes de l’agonie de la domination américano-sioniste sur cette région, annonçant l’avènement de changements profonds qui balayeront en toute probabilité de nombreux états factices et régimes fantoches. »