Ces objectifs sont d’essence progressiste et visent dans leur substance à mettre le pays sur les rails de la construction et à faire face aux incessantes tentatives de dérives.
En marge de la troisième session du bureau central du parti qui se tient les 2 et 3 novembre à Hammamet sous le signe « Post-6 octobre : Quelles politiques ? », le SG a réaffirmé l’engagement de son parti à plaider sans cesse en faveur de la concrétisation des objectifs du 25 juillet dans la pratique.
Il se dit optimiste face à la situation politique du pays au lendemain du scrutin présidentiel du 6 octobre 2024.Un brin d’optimisme qu’il tire de la rédaction du projet de loi de finances de 2025, lequel consacre de larges développements au volet social dans une perspective de conforter le rôle social de l’Etat.
Briki a par ailleurs saisi l’occasion pour lancer un appel fort à parachever le paysage politique à travers une série de mesures urgentes, citant en exemple la nécessaire abrogation du décret-loi n°54 (relatif à la lutte contre les crimes liés aux systèmes d’information et de communication), la réactivation de l’article 60 du Code pénal (relatif à la criminalisation de la normalisation) et la mise sur pied de la Cour constitutionnelle, garante de la suprématie de la Constitution et du Conseil supérieur de la magistrature.
Avec TAP