Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) tire la sonnette d’alarme sur les conditions de détention des journalistes et appelle à leur libération immédiate.
Tout comme il marque sa solidarité avec la journaliste Chedha Haj Mbarek qui a entamé une grève de la faim depuis le 3 novembre 2024. Et ce, pour protester contre le manque de soins appropriés en prison. A cet égard, notons que son équipe de défense n’a pas pu la rencontrer, suite au transfert de son dossier à Tunis.
Le syndicat dénonce également l’état de santé précaire du journaliste Mohamed Boughalleb, souffrant de dermatite sévère. Dans ce contexte, il accuse les autorités de harcèlement systématique.
Au final, le SNJT exige des soins médicaux adéquats et la libération immédiate de plusieurs journalistes détenus pour leurs opinions. C’est ce qu’il ressort du communiqué publié par le syndicat des journalistes.