Comme c’est souvent le cas, le Noël 2024 ne s’est pas passé comme prévu pour cette famille. À cause d’un (maigre) cadeau de “20 euros pour une bougie“ que le mari d’une femme a offert à son pote.
Se sentant coupable, la bonne femme, de 28 ans, a posté cette question sur le réseau social Reddit pour demander conseil : « Suis-je une connasse ? », et ce, après avoir annulé à la dernière minute le repas de Noël de sa belle-famille qu’elle organise tous les ans“, rapporte lindependant.fr.
En effet, « le jour de Noël, cette femme, qui n’a pas dévoilé son prénom, a ainsi remarqué que l’homme avec lequel elle est mariée depuis 3 ans avait dépensé 150 euros pour offrir un beau cadeau à son ami, partenaire de jeux vidéo. Une somme qu’elle a jugée exorbitante au regard de celle dépensée par son mari pour son cadeau : une bougie à 20 euros ».
En réponse à son message/question, elle reçut de nombreuses réponses d’internautes «… lui expliquant qu’elle avait agi par égoïsme ».
Et Mme X de regretter son geste, mais le mal est déjà fait. « J’écris depuis notre chambre où je me cache avec une bouteille de vin, tandis que mon mari joue à des jeux vidéo dans le salon, racontant probablement à ses amis en ligne comment j’ai ruiné Noël ».
Toujours selon lindependant.fr, la déception est à la hauteur de l’abnégation et du cœur que la jeune femme dit avoir mis pour préparer le Noël de cette année. « J’ai décoré la maison, planifié un menu incroyable et même fabriqué à la main certaines décorations de table ».
Bref, lorsqu’elle a demandé à son mari comment pouvait-il se permettre d’offrir un cadeau de 150 euros à son ami, mais de seulement 20 euros à elle, il n’aurait «… présenté aucune excuse, aucune explication, juste des remarques sur la façon dont je réagissais de manière excessive et que je ruinais l’esprit des fêtes », affirme-t-elle.
C’est alors qu’elle décide : « Je ne vais pas servir le dîner à un homme qui pense que son ami en ligne mérite plus d’efforts que sa femme ». Elle annula par conséquent le repas de Noël et s’attira au passage « les foudres de sa belle-famille ».