Quelques articles, parus récemment sur les colonnes de certains journaux, font croire à une perpétuelle situation délicate tendant à déstabiliser la STB, actionnaire majoritaire de la BFT.
Certes la BFT est au centre d’un lourd conflit, opposant depuis plus d’une décennie l’Etat Tunisien à l’ABCI, dont la STB n’est nullement partie prenante. Bien que la STB ait été historiquement assujettie à être l’actionnaire majoritaire de la BFT, elle n’intervient nullement dans la gestion de cette banque, rôle dévolu essentiellement à l’Etat Tunisien.
A cet égard, le règlement des honoraires du cabinet d’avocats, invoqué comme preuve de la responsabilité de la STB dans cette affaire, n’a été fait que pour le compte de l’Etat qui couvre totalement ces frais.
La teneur des appréciations formulées ici et là relève, nous semble-t-il, d’une volonté de nuire à l’image de la pionnière des banques tunisiennes qui n’a de cesse de jouer depuis l’indépendance un rôle principal et essentiel dans le développement et la promotion de l’économie tunisienne.
Malgré ces propos injustes, la STB, pionnière du système financier tunisien, demeure financièrement solide; elle poursuit son activité, tout en respectant les normes prudentielles en vigueur. Elle ambitionne de redevenir la banque leader, performante au service de l’économie nationale. Elle y parviendra grâce à son nouveau plan stratégique 2016–2020, à la motivation et aux compétences, reconnues dans le secteur, de ses collaborateurs ainsi qu’à la fidélité de ses clients.
Cette mise au point nous a paru utile et nécessaire au nom des valeurs qui sont celles de la STB, de notre souci de clarification et de notre devoir de transparence.