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Leconomiste Maghrebin > Blog > Entreprise > Business > Les approches de financement traditionnelles répondent rarement aux besoins des entreprises de la nouvelle ère numérique
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Les approches de financement traditionnelles répondent rarement aux besoins des entreprises de la nouvelle ère numérique

L'Economiste Maghrébin
2016/12/07 at 9:46 AM
par L'Economiste Maghrébin 9 Min Lecture
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Ahmed El Alfi est le fondateur de Flat6Labs, un accélérateur de startups présent en Egypte, en Arabie Saoudite, aux Emirats Arabes Unis et tout récemment au Liban et en Tunisie.

Les gouvernements des marchés émergents et les organismes internationaux de développement qui souvent les soutiennent, doivent adapter leurs efforts ainsi que leur philosophie d’investissement.  Ils doivent répondre aux changements des besoins de financement des entreprises, des écosystèmes et de la création d’emplois dans la nouvelle ère digitale.

Dans le passé, il était question d’achat d’immobilisations ou de terrains et de recourir à une main d’œuvre pour maximiser leurs rendements. Aujourd’hui, il s’agit de plus en plus d’embaucher des personnes pour créer de nouveaux produits, d’optimiser l’utilisation des actifs existants ou d’en éliminer le besoin.

Nous avons tous pu observer le succès et l’expansion fulgurante de jeunes startups innovantes, avec le potentiel de se développer à l’international et de créer des milliers d’emplois, le tout sans aucun investissement massif en ressources ou en biens matériels.

Il y a une décennie, la plupart des plus grandes entreprises du monde, définies par leur capitalisation boursière, étaient dans l’industrie pétrolière ou dans le secteur bancaire. Aujourd’hui, elles sont dans la « haute technologie ». La révolution digitale a entraîné un changement radical dans les modèles de gestion d’entreprises : en effet, la performance et la valorisation de sociétés ne sont désormais plus rattachées à leurs capacités à employer des ressources physiques.

À travers notre expérience en tant qu’investisseurs dans les startups des trois plus grandes économies de la région arabe – l’Egypte, l’Arabie Saoudite et les Emirats – nous avons cherché à encourager et à promouvoir la jeunesse dans le développement d’entreprises et ce que nous considérons comme fondamental pour leur avenir.

Au vu de cette expérience, nous croyons fermement que les gouvernements peuvent entreprendre des démarches importantes pour agir en tant que facilitateurs et moteurs de développement pour ces jeunes et nouvelles entreprises.

Les véritables atouts des meilleures entreprises mondiales – telles qu’Alphabet (Google) ou Facebook – sont leurs employés ainsi que les produits innovants qu’ils génèrent. L’économie collaborative annule la nécessité pour les entreprises de posséder des actifs physiques et biens d’équipement. Uber, la plus grande entreprise de taxis au monde ne possède ainsi pas une seule voiture et la plus importante entreprise de logement au monde, Airbnb, ne possède pas un seul bien immobilier. Ces deux sociétés, considérées comme faisant partie de l’économie de partage, ont cependant en commun le fait d’être une source d’innovation et de création d’emplois ; elles deviennent ainsi de vraies forces motrices dans la croissance économique de leur pays.

Alors que plusieurs gouvernements et agences internationales de développement ont correctement identifié le besoin de créer une base de petites et moyennes entreprises comme fondement même de leur politique macroéconomique, ils se sont concentrés fortement sur des programmes d’emprunts spécialisés.

Le cœur du problème est là : l’approche traditionnelle de financement par de lourds endettements est en fin de compte rarement appropriée pour les sociétés technologiques à fort potentiel de croissance. L’endettement ne correspond pas au financement propre que recherchent ces sociétés. La rapidité de croissance de ces entreprises technologiques dépasse les performances historiques et stables que les banques attendent en retour, au moment de la décision de l’octroi du prêt. Par ailleurs, elles ont rarement les garanties de prêts exigées par les banques sous forme de biens matériels. Ces initiatives de financement ‘traditionnelles’ sont donc plus adaptées aux entreprises exigeant une forte capitalisation d’actifs dont les besoins de financement correspondent à des besoins d’acquisition d’actifs tangibles.

Par ailleurs, les programmes de développement d’emplois traditionnels – généralement axés sur des formations et subventions afin d’encourager les employeurs à augmenter leurs besoins d’emplois – ont tendance à générer des emplois susceptibles de devenir rapidement obsolètes.

Le financement par actions (ou par capitaux propres – essentiellement via la vente d’une partie de l’entreprise à un investisseur) a fait ses preuves depuis des décennies en soutenant des idées innovantes et en les guidant dans leur concrétisation en entreprises transformatrices, créant de nombreux d’emplois et inspirant en conséquence de nombreux autres entrepreneurs à lancer leurs propres projets.

Une de ces histoires de réussite locale reflétant ces changements est une société Égyptienne, ITWorx co-fondée en 1994 par un de mes partenaires, Wael Amin.  ITWorx s’est spécialisée dans le développement de logiciels personnalisés pour de grandes entreprises et a connu une croissance et une performance remarquable, marquée par un fort potentiel d’expansion dans la région et à l’international. En 1999, il en résulta une première levée de fonds auprès d’un fond d’investissement administré par un autre de mes collègues, Hany Al Sonbaty, puis une seconde levée via la Société financière internationale (SFI).

Aujourd’hui, ITWorx emploie plus de 1,000 personnes et s’est développée à travers 12 pays. Ce qui est d’autant plus remarquable est certainement les conséquences au-delà même de la société : le développement de ITWorx a entraîné sur son chemin une nouvelle génération d’entrepreneurs, avec d’importantes répercussions dans la création d’emplois. Travailler au sein d’une entreprise à forte-croissance inculqua des compétences techniques et une fibre entrepreneuriale à de nombreux employés, les conduisant à lancer indépendamment plus de 200 nouvelles startups. Ce cycle de croissance économique continue de façon exponentielle, alors que ces sociétés attirent investissements, créent de nombreux emplois, et à leur tour, voient leurs propres employés les quitter pour établir leurs propres nouvelles entreprises.

Malgré ses succès notables, l’industrie de capital-risque se transforme rapidement. L’essor du financement par actions à travers les programmes d’accélérateurs de startups – investissant de petites sommes et offrant aux entrepreneurs formation et mentorat – crée ainsi des options de financement plus dynamiques et plus adaptées aux entreprises en phase d’amorçage.

Essentiellement, le financement par capitaux propres dans son format traditionnel est un outil qui génère de nombreux emplois, assurant leur durabilité, permettant la création de nouvelles startups pour un rendement positif et une durabilité de la croissance de l’économie nouvelle.

Il est grand temps que les responsables de la politique économique des pays émergents – ainsi que leurs homologues à la tête des institutions internationales de développement – prennent note de ce qui se révèle déjà être une solution, pour combattre les taux de chômage élevés et mener des changements significatifs et durables au sein de ces économies émergentes. Ces objectifs peuvent être simplement atteints par la redirection de fonds vers de tels programmes favorisant l’impact à long terme.

À travers son nouveau programme “Startup Catalyst” et l’expansion de ses allocations régionales et ses ressources financières aux fonds de capital-risque, la SFI est l’une de ces institutions s’adaptant au changement.

Imaginez la croissance et les bénéfices que pourraient tirer les marchés émergents, s’il existait 1000 sociétés comme ITWorx, créant emplois et par surcroît, améliorant l’environnement des startups. Ce changement radical pourrait redonner un nouveau souffle à l’économie mondiale à part entière.

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L'Economiste Maghrébin 7 décembre 2016
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