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Leconomiste Maghrebin > Blog > Economie > Conjoncture > Education : et si on soumettait les cours particuliers à l’impôt ?
ConjonctureEconomie

Education : et si on soumettait les cours particuliers à l’impôt ?

L'Economiste Maghrébin
2017/10/09 at 11:37 AM
par L'Economiste Maghrébin 2 Min Lecture
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« Si les cours particuliers sont soumis aux impôts, cela permettrait à l’Etat d’engranger 300 millions de dinars annuellement en recettes fiscales », a annoncé l’Organisation tunisienne d’orientation du consommateur (OTOC), dans un communiqué rendu public, aujourd’hui, 9 octobre. L’Organisation a indiqué l’existence d’un manque à gagner fiscal. 

Et d’ajouter que le chiffre d’affaires réalisé par les enseignants et les instituteurs qui exercent les cours particuliers  atteint 1 milliard de dinars par an. Tel est le principal constat d’une étude menée par l’Académie des droits du consommateur qui relève de ladite organisation sur un échantillon de 2907 parents d’élèves.

Il en ressort que les coûts des cours particuliers varient entre 30 et 60 dinars au primaire (de la première année jusqu’à la sixième année), entre 40 et 80 dinars pour le collège (de la septième à la neuvième année). Quant au cycle secondaire, c’est la flambée pour le cycle secondaire : entre 80 et 150 dinars ! Dans le même contexte, l’organisation considère que les dépenses moyennes d’un élève du primaire au secondaire est de l’ordre de 50 dinars par mois, pendant les dix mois de la scolarité.

L’étude a indiqué que les cours particuliers se transforment en activité quotidienne dans les semaines qui précèdent les examens nationaux.  Sur un autre volet, l’étude a révélé que les  prix des cours particuliers  connaissent une évolution rapide, ce qui les place juste après les dépenses pour l’agroalimentaire et devant celles de la santé, énergie, distractions. Notons que l’indice des prix actuel ne  prend pas en considération les cours particuliers.

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L'Economiste Maghrébin 9 octobre 2017
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  • KHALED GHENI dit :
    9 octobre 2017 à 17h47

    Pourquoi pas ne pas voir l’abus de pouvoir des instituteurs, en premier et l’harcèlement des parents sous prétexte d’un intérêt suprême dudit « étude »? Et après les recenser, les organiser et fixer la taxation qui va. Car j’apporte à votre intérêt que seulement les notes et l’accueil changent ; mais le niveau réel de l’apprenant reste sur place.j’ajoute que l’ingratitude des uns et des unes, dans ce domaine qui a perdu tant de sa noblesse, pousse l’enfant même de demander ces cours particuliers pour que maîtresse arrête de l’humilier et de lui dire de gros mots en public(amis de classe).Le ministère n’a qu’accorder les autorisations d’ouverture des écoles privées qui n’ont jamais été visitées par quiconque dudit ministère de tutelle.C’est l’embarras partout. Et que dites-vous du passage systématique du primaire au collège? En tant qu’enseignant d’une longue carrière, je vous informe que le laisser-aller est la loi qui domine à l’école.Et je m’explique: les agitateurs,les indisciplinés, les semeurs de trouble, sont tous les mal vus et tout le monde veut s’en débarrasser malgré les moyennes aux alentours de  » pi » .
    Les statistiques théoriques et dans l’espace n’aboutissent à rien quand on ne rassemble pas tous les paramètres de réussite comme tout autre projet. Commençons par le commencement-ce qui n’est pas le cas- Car pour les maternelles innombrables qui sont partout et à côté de toutes les écoles dans le pays ne respectent rien des droits de l’enfant qui sort de sa maison pour se retrouver dans une maison pareille juste à côté.
    Quand nous allons voir la réalité en face et réagir comme il se doit pour le bien de nos jeunes générations d’avenir?
    Plutôt a-t-on l’intention de le faire?

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