800 millions de dinars, tel est le coût global des augmentations salariales de la fonction publique. C’est ce qu’a affirmé le secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Monem Amira, dans une déclaration aux médias.
Par ailleurs, la masse salariale de la fonction publique et le secteur public ne cesse d’augmenter. En effet, en 2018, le FMI a averti le gouvernement tunisien quant aux graves problèmes d’endettement qu’il encourt.
Ainsi, le gouvernement doit garder le contrôle des dépenses et de la masse salariale. C’est la seule voie passante pour atteindre les objectifs budgétaires fixés pour l’exercice 2019. A savoir : la réduction des pressions fiscales supplémentaires sur les contribuables.