Et si la société civile passait du pouvoir de proposition aux pouvoirs de décision et de changement ? Telle est, en grande partie, l’initiative de la coalition civile lancée par Ncharek et Mouatinoun.
En effet, l’objectif est d’apporter un nouvel élan grâce à une initiative indépendante. Et cette décision de collaborer émane d’un groupe de citoyens qui ne veut plus être spectateur, face à la dégradation de la situation politique.
D’ailleurs, leur intérêt est de sauver le pays d’une plus grande dégringolade dans tous les autres secteurs. Ainsi, les participants à cette initiative seront candidats aux prochaines élections dans des listes unifiées.
Mais comment l’idée s’est-elle concrétisée ? Elle naît de l’intérêt, -pour les représentants d’organisations nationales, d’associations, des personnalités indépendantes, un certain nombre de sympathisants-, de s’unir et de proposer une alternative une alternative aux citoyens.
En conséquence, l’objectif est la mise en place de l’achèvement du processus démocratique. Mais il est aussi l’assainissement du climat électoral et la garantie de l’organisation d’élections transparentes, libres et équitables.
Car, selon la société civile, les élections doivent être à la hauteur du modèle démocratique de la Tunisie.
Enfin, cette coalition civile lancée par Ncharek et Mouatinoun veut présenter des visions et proposer des alternatives. Et ce, pour améliorer le système de gouvernance; conduire au succès du processus démocratique et de la démocratie sociale, progressive et prospère.