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Leconomiste Maghrebin > Blog > Editoriaux > Les secrets d’un dinar qui résiste
Editoriaux

Les secrets d’un dinar qui résiste

Bassem ENNAIFAR
2019/05/27 at 9:51 AM
par Bassem ENNAIFAR 5 Min Lecture
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Le dinar affiche relativement une « bonne santé » depuis le début de l’année. Toutefois, il est encore tôt pour juger de l’exercice de notre devise.

Pour mieux juger ce début, il convient de remonter un peu en arrière et observer le comportement du dinar durant la même période, lors des derniers ans. Sur les mois janvier – mai de chacune des années 2015-19, le dinar a bien résisté à l’exception de 2017, où la sortie de la ministre des Finances en fonction avait causé une rapide appréciation de la monnaie unique.

Contents
Le dinar affiche relativement une « bonne santé » depuis le début de l’année. Toutefois, il est encore tôt pour juger de l’exercice de notre devise.Une tendance qui s’expliqueLa seconde moitié de l’année sera décisive

En 2015, le dinar a gagné 4,6% avant d’enchaîner deux années de baisse : -5,04% en 2016 et -12.25% en 2017. En 2018, les cinq premiers mois se sont soldés par un équilibre fragile (une appréciation de 0,1%). Le comportement du dinar durant l’année 2019 reste le meilleur depuis 2015 avec une appréciation de 1,1% face à l’euro.

Il est donc clair à partir de ces chiffres que les débuts du dinar sont toujours assez résilients durant la première moitié de l’année. 2019 n’est donc pas une exception. De plus, cela montre qu’en réalité, la BCT n’a rien fait d’exceptionnel pour soutenir notre monnaie contrairement à ce que présument plusieurs.

Une tendance qui s’explique

Trois principales raisons sont derrière cette tendance. Il y a d’abord la bonne situation, relative, des finances publiques. La première partie de l’année est marquée par l’encaissement de l’impôt sur les sociétés, ce qui dote l’administration de ressources importantes. Nous avons déjà constaté la faible pression sur le marché des BTA. Il est vrai que cela revient en partie à la hausse des taux. Mais la disponibilité de ressources pour honorer à ses engagements fait que les réserves en devises n’ont pas été sollicitées pour combler un manque particulier.

Le second point reste la baisse des importations durant cette période. Les chiffres du commerce extérieur ont montré une baisse de 2,0% en rythme annuel à prix constant (en volume) et ce, bien que les importations du secteur de l’énergie soient en forte hausse de 9,8%. Mais ce n’est pas seulement la baisse des importations qui ont relativement préservé le dinar. Il y a également les exportations. Ces dernières ont baissé de 2,7% en volume durant la période. Ce recul provient essentiellement des secteurs textiles, habillement et cuir (2,7%) et des industries mécaniques et électriques (1,8%). Ces domaines d’activité nécessitent beaucoup de produits finis et semi-finis importés.

Ainsi, le recul de la demande étrangère se traduit par une baisse de consommation de matières importées. En fait, les importations des textiles, habillement et cuir et des industries mécaniques et électriques ont respectivement reculé de 2,5% et de 5,3%, en volume, depuis le début de l’année.

Le troisième facteur est ce qu’a dit le Gouverneur de la BCT devant la commission de législation générale de l’ARP. Le manque de liquidité a poussé beaucoup de détenteurs informels de devise à les transformer en dinars, créant ainsi un soutien additionnel et inattendu à notre monnaie.

La seconde moitié de l’année sera décisive

Il est évident que l’évolution future va dépendre de la performance globale de l’économie. Le problème est que les chiffres de la croissance ont déçu durant le premier trimestre.

Maintenant, plus l’année avance, plus la pression va s’accentuer sur les finances publiques et plus il y aura de la demande sur le peu de la réserve de change dont nous disposons. Le rythme de la production des phosphates, du pétrole et les recettes touristiques seront très importantes pour les mois à venir. La baisse de la demande de l’Union européenne est problématique. Il serait très utile de promulguer le nouveau Code de change, ou au moins modifier la version actuelle, car il n’y a plus de temps avant les élections.

Nous gardons toujours comme peu probable l’hypothèse d’un euro à 4 dinars à la fin de l’année. Cela signifie une baisse de plus de 17% d’ici là. Bien évidemment, tout reste probable dans une année élective avec les surprises qu’elle peut apporter. Toutefois, nous pensons qu’un dinar à ce niveau ne fera l’affaire de personne.

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MARQUÉE: BCT, Commerce extérieur, Dinar, Euro, Importations, liquidité
Bassem ENNAIFAR 27 mai 2019
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1 Commentaires
  • guessmi med dit :
    17 novembre 2019 à 7h16

    le + et le – ,c’est la vie:croissance et récession(économie),gauche et droite(politique),gouvernance et opposition(social)…lorsque on trouve une situation de stabilité(la redondance de internet par exemple,ou les internautes ne trouve que facebook pour parler et youtube pour divertissememnt,avec le mauvais arrière plan de ces 2 sites basé sur des petit codes html/css et supporté dans des objectifs assez malin…)on ne peut que trouver des problèmes plus que économique et informatique.

    en économie,la valeur de dinar doit augmenter(+)et diminiuer,et c’est très important puisque liée à notre pain de jour(1 pain=240 millime).dans la plupart des pays,ou le système public est affaiblie(vendre les entreprise étatique,favoriser mélice et affaire sous la table contre force public et lois,accepter les investissement des autre pays et verrouiller les investissement local(étatique et privés)…),plusieurs systèmes international offre leurs support(banque mondiale,UN…),au même temps ou des autre trouve opportunité pour attaquer par mauvais astuces.

    autre que désinformation(facebook,youtube…),préparer occupation(terrorisme[religieux et autre],anarchie…)…un parmi les plus puissant astuces(ont trouvé un succès sans pareil,même en absence de tout autre support,ce qui est différent des autre plan qui nécessite le support de plusieurs alliés)est la fausse monnaie:il suffit de avoir des traitre(immigrants tunisien en france/Italie),contact en Douane(permettre de importer le matériel[imprimante,papiers…])et des contact en police(ignorer les grandes quantités de fausse devise)pour créer des millions de dinar,avec la même qualité des dinar de BCT(même matériel et papier),et qui paraitre sans aucun lien avec économie(production,import/export…).

    en algerie,ce plan a tirer un pays pétrolier avec des plans intelligent d’industrialisation au stage des pays pauvre pour des dizaine d’année,malgré les richesse en petrole et les plans de développement.en tunisie,notre economie serait immergé par les fausse billet en quelque année,sans attendre le terrorisme islamique ou bien l’anarchie des réseaux facebook/youtube(avec 1 DT=0.01 €,tout les exportation de tunisie ne pourront pas importer le blé de pain).

    il est sensible de discuter les moyens d’infiltration des reseaux de fausse billets(certain ont un suppport haut niveau,en tunisie et pays euro-arabe),il est obligatoire de révéler les individu qui font l’impression de dinar tunisien en tunisie(sans suivre les reseaux de support,pour éviter les problèmes)et détruire les imprimante des fausse monnaie,c’est pas un astuce très developpé(recommander la création des sites web et forum pour ne pas être dirigé par les facebookeur,problème informatique à discuter)ou bien de prestige(accepter ou non le gouvernement des radicaliste islamique),c’est juste pour éviter,non pas le scénario algerien(1 dinar tunisien = 40 dinar algerien),mais,avec les faible distance entre tunisie et italie et les immigrants tunisien en france(offrir des informations détaillé de paysage tunisien au service français et permettre les contacts),on aura une venezuilla(immergé par usa/espagne)ou les faux dinar seront en surplus des dinar BCT et la valeur serait en chute libre,à moins de ordonner les système police/douane à attraper les imprimantes.

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