IT Business School est la seule école d’ingénieur Privée à Nabeul. Elle délivre des diplômes d’ingénieurs, des licences et Masters en informatique et Gestion. Elle organisait, le 16 mai 2020, un webinaire sur « Les enjeux socio-économiques et financiers de l’après Covid-19 ». Avec comme modérateur Dr. Aram Belhadj.
Jérôme Vacher, représentant résident du Fonds monétaire international en Tunisie (FMI), était l’invité de ce webinaire. A cette occasion, il a évoqué le rôle des institutions multilatérales en Tunisie et la gestion de crise de la Covid-19.
IT Business School est la seule école d’ingénieur Privée à Nabeul. Elle délivre des diplômes d’ingénieurs, des licences et Masters en informatique et Gestion. Elle organisait, le 16 mai 2020, un webinaire sur « Les enjeux socio-économiques et financiers de l’après Covid-19 ». Avec comme modérateur Dr. Aram Belhadj.« Le FMI a réagi vite face à la crise de la Covid-19. Notamment avec ses instruments de financement d’urgence en les adaptant au nouveau contexte. Le FMI a doublé l’accès à ses ressources destinées à tous les pays ayant accès à ses facilités. La Tunisie a été la première à bénéficier de cet instrument avec un seul déboursement ».« La relance sera difficile au niveau budgétaire, du secteur financier et des nouvelles situations à gérer. Et ce, pour les Etats, les banques centrales et les institutions multilatérales. Les équilibres macroéconomiques seront toujours là et auront besoin de solutions. En Tunisie, la crise aura un impact sur les finances publiques. Il faut s’attaquer à ce problème dans les mois qui viennent … »
« Le FMI a réagi vite face à la crise de la Covid-19. Notamment avec ses instruments de financement d’urgence en les adaptant au nouveau contexte. Le FMI a doublé l’accès à ses ressources destinées à tous les pays ayant accès à ses facilités. La Tunisie a été la première à bénéficier de cet instrument avec un seul déboursement ».
« La relance sera difficile au niveau budgétaire, du secteur financier et des nouvelles situations à gérer. Et ce, pour les Etats, les banques centrales et les institutions multilatérales. Les équilibres macroéconomiques seront toujours là et auront besoin de solutions. En Tunisie, la crise aura un impact sur les finances publiques. Il faut s’attaquer à ce problème dans les mois qui viennent … »