« L’étape actuelle représente une période de tri pour distinguer les parties nationales d’une part, et les parties anti-libertés et anti-action syndicale en Tunisie d’autre part ». A estimé dimanche Sami Tahri, secrétaire général adjoint à l’Union générale tunisienne du travail (UGTT).
Sami Tahri a ajouté que la crise politique vécue en Tunisie impose une réflexion. Et ce pour distinguer les parties voulant lutter contre les libertés et l’action politique et syndicale et les parties civiles militantes en faveur des droits civils et des libertés
Tahri a, par la même occasion, rappelé la rencontre qui a eu lieu mercredi dernier entre le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Tabboubi et une délégation du parti « Qalb Tounes ». Notons que la réunion a été tenue à la demande du parti politique.
En effet, « la délégation a affirmé sa condamnation des actes visant la centrale syndicale. Ainsi que les menaces à l’encontre du secrétaire général de l’Union ». A notamment ajouté Tahri.
Avec TAP