Les représentants des bailleurs de fonds et des institutions financières internationales finançant la Tunisie ont souligné leur attachement à renforcer davantage leur rôle. Celui à même de permettre à la Tunisie d’exécuter ses programmes de réformes. Et ce afin de lui fournir l’aide financière et technique nécessaire. Surtout en ce qui concerne le renforcement du budget.
C’est ce qui ressort de la réunion en présentiel et à distance réunissant les représentants d’un nombre des institutions financières internationales et de bailleurs de fonds finançant la Tunisie (BM, UE, BAD, AFD, JICA…), avec le ministre de l’Economie, des Finances et du Renforcement de l’Investissement, Ali Kôoli, au siège dudit département. Et ce dans le cadre d’une mission qui leur a été confiée pour le suivi périodique du programme du renforcement du budget commun.
La réunion a permis de passer en revue l’avancement du programme de la coopération financière pour l’année 2020. Ainsi que le plan d’action pour 2021 et les exigences de la coordination entre le gouvernement tunisien et les institutions financières. Et ce à la lumière des priorités nationales pour la prochaine période.
Le ministre de l’Economie, a réaffirmé l’engagement de la Tunisie et son attachement à poursuivre la dynamisation de l’ensemble des réformes. Surtout celles susceptibles de donner l’élan nécessaire à l’économie nationale et d’améliorer les rentabilités. Et cela à travers la réforme des établissements publics, le développement de leur gouvernance, l’amélioration de leur efficience. Sans oublier la consolidation de la transition numérique. Outre le renforcement de l’intégration économique et sociale et autres réformes.
Il a souligné que la Tunisie compte dans ce processus de réformes sur ses potentialités et ses propres efforts. Ainsi que sur l’appui de ses partenaires. Le ministre a insisté sur la nécessité de renforcer la solidarité internationale et la coopération entre les différentes parties. Notamment en cette conjoncture internationale difficile par laquelle passe tous les pays du monde, y compris la Tunisie. Et ce à cause des répercussions de la crise sanitaire de la Covid-19.
Avec TAP