En utilisant ce site, vous acceptez la Politique de confidentialité et les Conditions d'utilisation.
Accept
Leconomiste Maghrebin
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
En lisant: Rien ne sera plus comme avant entre Washington et le royaume wahhabite
Partager
Notification Voir Plus
Dernières nouvelles
ARP: Débat sur le projet de loi sur la profession de conseiller fiscal
A ne pas manquer Nation Politique
Ridha Charfeddine
Ridha Charfeddine pourrait être condamné à 3 ans de prison et 72 millions de dinars d’amende
A ne pas manquer Nation Politique
Diaspora tunisienne : un levier sous-utilisé pour l’investissement et la croissance
A la une Economie Finance
GNV accélère sa transition écologique
A ne pas manquer Business Entreprise
ADAPT : IRESA et AICS lancent les indicateurs de durabilité pour l’agroécologie en Tunisie
A ne pas manquer Agriculture
Aa
Aa
Leconomiste Maghrebin
  • Economie
  • Entreprise
  • Monde
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
Vous avez un compte existant ? Sign In
Follow US
  • Advertise
Leconomiste Maghrebin > Blog > Idées > Analyses > Rien ne sera plus comme avant entre Washington et le royaume wahhabite
AnalysesChroniques

Rien ne sera plus comme avant entre Washington et le royaume wahhabite

Béchir Lakani
2021/02/18 at 10:22 AM
par Béchir Lakani 6 Min Lecture
Partager
Biden
Partager

L’administration américaine, aux ordres de Joe Biden, dessine par petites touches sa politique étrangère au Moyen-Orient; et notamment en Arabie saoudite. Et ce, en mettant fin au soutien américain à la coalition menée par les Saoudiens au Yémen. De même qu’en retirant les rebelles houthis de la liste noire des organisations terroristes. Tout en décidant d’avoir le roi Salmane pour unique interlocuteur.

Recadrer et équilibrer. Tel semble être le mot d’ordre de Joe Biden,  le 46ème président des Etats-Unis. Puisqu’il entend tourner la page de la politique étrangère désastreuse suivie par Trump au Moyen-Orient. Et notamment avec son puissant allié régional, l’Arabie saoudite.

Contents
L’administration américaine, aux ordres de Joe Biden, dessine par petites touches sa politique étrangère au Moyen-Orient; et notamment en Arabie saoudite. Et ce, en mettant fin au soutien américain à la coalition menée par les Saoudiens au Yémen. De même qu’en retirant les rebelles houthis de la liste noire des organisations terroristes. Tout en décidant d’avoir le roi Salmane pour unique interlocuteur.Biden : « La guerre au Yémen doit cesser »Un geste envers l’Iran?Un seul interlocuteur : le roi SalmaneConcession

Biden : « La guerre au Yémen doit cesser »

Ainsi, l’une des premières décisions prise par le nouveau locataire de la Maison Blanche fut l’arrêt brutal du soutien américain à la coalition menée par les Saoudiens au Yémen. Un conflit dans lequel l’Arabie saoudite est enlisée depuis six ans. « Nous renforçons nos efforts diplomatiques pour mettre fin à la guerre au Yémen; laquelle a créé une catastrophe humanitaire et stratégique ». C’est ce que déclarait le président américain dans son premier discours de politique étrangère.

Et de marteler avec force: « Cette guerre doit cesser. Et pour souligner notre détermination, nous mettons fin à tout soutien américain. Et ce, aux opérations offensives dans la guerre au Yémen; y compris aux ventes d’armes. »

A signaler que Ryad commande depuis 2015 une coalition militaire en soutien au gouvernement yéménite face aux Houthis appuyés par l’Iran. Et qu’il est accusé de bavures envers les civils. Et ce, dans le pays le plus pauvre de la péninsule arabe. Où des écoles et même des hôpitaux furent bombardés sans discernement.

Un geste envers l’Iran?

D’autre part, Antony Blinken décidait de retirer les Houthis de la liste noire américaine des organisations terroristes. Et ce, dans un geste inattendu du nouveau chef de la diplomatie américaine. Il risque de mettre à mal les équilibres des alliances régionales. Une décision qui permettra dorénavant d’acheminer de l’aide humanitaire. Dans les vastes territoires contrôlés par les rebelles houthis soutenus par Téhéran. Un clin d’œil vers Téhéran?

Un seul interlocuteur : le roi Salmane

Et ce n’est pas tout. En effet, Joe Biden, qui entend prendre ses distances avec le royaume wahhabite, veut avoir un seul interlocuteur. A savoir le roi Salmane plutôt que le prince héritier Mohammed Ben Salmane (MBS).

« Nous avons clairement dit depuis le début que nous allions rééquilibrer notre relation avec l’Arabie saoudite ». Ainsi soulignait Jen Psaki, porte-parole de la Maison-Blanche. Elle répondait à des questions, lors de son point de presse quotidien.

D’ailleurs, à la question de l’opportunité d’un éventuel échange téléphonique à venir entre son patron et le prince héritier. Lequel  était l’interlocuteur privilégié de Donald Trump. Jen Psaki a assuré que « cela n’est pas à l’ordre du jour. L’homologue du président est le roi Salmane et il aura un échange avec lui le moment venu ». Ainsi répondait-elle, sur un ton cinglant.

« Les jours où MBS avait un accès direct à la Maison Blanche sont semble-t-il révolus, au moins pour le moment ». Telle était la réaction sur Twitter de l’ex-diplomate Aaron David Miller, négociateur sous des gouvernements démocrates comme républicains.

A ce propos, notons que tous les présidents américains, sans exception, ont entretenu des « relations spéciales » avec les membres de la famille royale.

Mais la proximité de l’ancien président Trump ainsi que son gendre Jared Kushner avec le prince héritier était trop voyante. Ainsi, en recevant Mohamed Ben Salmane début 2018 dans le Bureau ovale, le milliardaire républicain avait évoqué sa « grande amitié » avec son hôte.  « Nous nous comprenons l’un l’autre », s’était-il écrié à l’issue de cette visite.

Concession

Alors, est-ce pour amadouer la nouvelle administration américaine, Joe Biden étant plus attentif que son prédécesseur Donald Trump à la question des droits de l’homme, que l’héritier de la couronne saoudienne décida la libération de Loujain Al-Hathloul, l’icône de la lutte pour l’émancipation de la femme saoudienne?

« Elle était une importante militante des droits des femmes. La libérer était la chose à faire ». Ainsi réagissait le président américain, mercredi 10 février, quelques heures après la sortie de prison de la militante saoudienne. Affirmant ainsi faire de la défense des droits de l’homme son cheval de bataille et un marqueur de sa politique étrangère.

Articles en relation

La Fed laisse inchangés ses taux d’intérêt directeur

La Libye nie tout accord pour accueillir les migrants expulsés des États-Unis

Négociations américano-chinoises : Pékin injecte des mesures de relance monétaire « tactiques »

Kigali et Washington discutent d’accueil des migrants expulsés des États-Unis

Scott Bessent prédit 3 % de croissance du PIB américain en 2025

MARQUÉE: arabie saoudite, donald trump, Etats-Unis, Iran, Joe Biden, Loujain Al-Hathloul, Mohammed Ben Salmane, Roi Salmane, Yémen
Béchir Lakani 18 février 2021
Partagez cet article
Facebook Twitter Whatsapp Whatsapp LinkedIn
Article précédent Indice 2020 du commerce électronique : la Tunisie classée 3ème pays africain
Article suivant tourisme labels Le label « Qualité Tourisme Tunisie » attribué à quatre établissements
Laissez un commentaire

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

SUIVEZ-NOUS

Facebook Like
Twitter Follow
Youtube Subscribe

Adresse : 3, rue El Kewekibi 1002 Tunis – Tunisie
Tél : (+216) 71 790 773 / 71 792 499
Fax : 71 793 707 / 71 791 427
E-mail : contact@promedia.tn

SUIVEZ-NOUS

©2023 L’Économiste Maghrébin, All Rights Reserved

Removed from reading list

Undo
Content de te revoir!

Connectez-vous à votre compte

Lost your password?