L’initiative « non-retour » a révélé que 28 juges spécialisés en justice transitionnelle (dont le président) mutés lors du dernier mouvement judiciaire, appellent le Conseil supérieur de la magistrature à les remplacer sans délai.
« Ces mutations des juges ont créé des vacances qui empêcheront d’atteindre le quorum et compromettront le travail de plusieurs circonscriptions ». Ainsi prévient l’initiative dans un communiqué publié mardi.
L’initiative « non-retour » a révélé que 28 juges spécialisés en justice transitionnelle (dont le président) mutés lors du dernier mouvement judiciaire, appellent le Conseil supérieur de la magistrature à les remplacer sans délai.L’initiative « non-retour » réunit l’organisation al-Bawsla, Avocats sans frontières et le Forum tunisien des droits économiques et sociaux. Elle œuvre à contrôler le processus de transition démocratique. Et à soutenir ses acteurs dans le but de rompre définitivement avec les pratiques de la dictature.
En outre, elle appelle le Conseil supérieur de la magistrature à désigner et former les nouveaux juges pour garantir la continuité de l’activité judiciaire spécialisée. Et à leur fournir les mêmes avantages que les autres magistrats.
Par ailleurs, « Non-retour » exhorte le ministère de l’Intérieur à exécuter les mandats d’amener. Ils s’élèvent, d’après les données collectées, à 237 mandats émis par les juridictions spécialisées.
L’initiative « non-retour » réunit l’organisation al-Bawsla, Avocats sans frontières et le Forum tunisien des droits économiques et sociaux. Elle œuvre à contrôler le processus de transition démocratique. Et à soutenir ses acteurs dans le but de rompre définitivement avec les pratiques de la dictature.
Avec TAP