Interviewé mardi par France 24, l’ancien président Mohamed Moncef Marzouki a déclaré « qu’il était contre la tenue du Sommet de la Francophonie sous la dictature ».
« Je souhaite que la Tunisie retrouve le processus démocratique d’ici une année. Et ce, avant l’organisation du sommet », ajoute Moncef Marzouki.
Il a, au final, exprimé le souhait de « voir le sommet de la Francophonie se tenir dans un pays démocratique ».