Les poursuites pénales engagées à l’encontre des personnes qui appellent au boycott du référendum du 25 juillet sont extrêmement « graves ». C’est ce qu’avance le président de l’Association tunisienne pour l’intégrité et la démocratie des élections (ATIDE), Bassem Maâter.
Dans une déclaration, mercredi à la TAP, Maâter a souligné que l’Instance des élections n’a pas le droit de restreindre la liberté d’expression des associations et partis politiques concernés par le processus électoral. La campagne référendaire ne concerne pas les parties qui appellent au boycott du référendum. C’est ce qu’affirme, le vice-président de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE), Maher Jedidi. Ainsi, il revient sur le Référendum.
Le président de l’association a également fait remarquer que l’ISIE n’a pas fixé, dans le calendrier, des délais pour déposer les recours. Et ce contre les décisions de rejet des demandes de participation à cette échéance électorale.
Avec TAP