L’Institut Arabe des chefs d’Entreprises (IACE) projette d’organiser à son siège des débats pour échanger des points de vue sur les différentes questions économiques dans le nouveau projet de constitution; et ce, du 12 au 21 juillet 2022.
L’IACE prévoit six débats à cet effet dans le cadre de la deuxième version du programme « notre économie d’abord ». En effet, l’institut estime, selon un document de présentation dont une copie est parvenue à l’agence TAP, que les points focaux qui seront débattus sont éminents. Et qu’ils peuvent intéresser le secteur privé, comme susciter des craintes quant à l’avenir de l’économie nationale.
Les débats aborderont principalement des questions liées à:
– L’article 17: « La cohabitation entre les secteurs public et privé: les répercussions »;
– L’article 18: « Les avantages sont-ils l’apanage des projets de développement et des chômeurs? »;
– Et l’article 55: « Les obstacles contre les droits et les libertés économiques: à quel point l’Etat peut-il intervenir? »
En outre, l’IACE débattra d’autres questions, comme: « La nouvelle constitution pourrait-elle garantir la liberté du travail, l’initiative privée et l’investissement? » et « Le nouveau code de l’investissement serait-il révisé? ».
De plus, d’autres questions seront au cœur du débat. Telles que:
– Celles liées à l’article 15: « L’évasion fiscale, un crime, qu’est ce qui va changer? »;
– Celles liées à l’article 68: « Le prochain projet de la loi de finances pourra-t-il garantir la consécration du principe de la participation et de la transparence? ».
Avec TAP