Moncef BEN SLIMANE , Président de LAM ECHAML a suivi avec une grande inquiétude les récentes élections législatives et le très faible taux de participation des tunisien-ne-s exigeant une révision sérieuse, immédiate et approfondie de l’approche politique imposée par le Président de la République.
Considérant que l’autorité politique est pleinement responsable de la situation actuelle
et à venir, Lam Echaml :
1- Réaffirme sa position ferme exprimée dans ses déclarations antérieures qui
refuse l’approche unilatérale et personnelle suivie par le Président de la République
dans toutes les étapes précédentes que ce soit à l’occasion de la consultation, de la
modification de la constitution ou de la loi électorale.
2- Considère que le faible pourcentage de participation aux élections est le résultat
inéluctable de la monopolisation du pouvoir par le président de la République et des
décisions arbitraires qui en ont résulté.
3- Refuse le retour à la situation d’avant le 25 juillet 2021 comme elle refuse la
poursuite de la gestion actuelle qui a conduit le pays à une situation économique,
sociale et politique désastreuse.
4- Exige, à l’instar de l’Union Générale Tunisienne du Travail, l’ouverture
immédiate d’un dialogue général et global avec les organisations nationales et la
société civile, dans le cadre d’une véritable démarche participative, en vue de réaliser
les réformes économiques et sociales urgentes qu’attend le peuple tunisien depuis la
révolution de 2011, et dont il a renouvelé l’exigence le 25 juillet 2021.
et à venir, Lam Echaml :
1- Réaffirme sa position ferme exprimée dans ses déclarations antérieures qui
refuse l’approche unilatérale et personnelle suivie par le Président de la République
dans toutes les étapes précédentes que ce soit à l’occasion de la consultation, de la
modification de la constitution ou de la loi électorale.
2- Considère que le faible pourcentage de participation aux élections est le résultat
inéluctable de la monopolisation du pouvoir par le président de la République et des
décisions arbitraires qui en ont résulté.
3- Refuse le retour à la situation d’avant le 25 juillet 2021 comme elle refuse la
poursuite de la gestion actuelle qui a conduit le pays à une situation économique,
sociale et politique désastreuse.
4- Exige, à l’instar de l’Union Générale Tunisienne du Travail, l’ouverture
immédiate d’un dialogue général et global avec les organisations nationales et la
société civile, dans le cadre d’une véritable démarche participative, en vue de réaliser
les réformes économiques et sociales urgentes qu’attend le peuple tunisien depuis la
révolution de 2011, et dont il a renouvelé l’exigence le 25 juillet 2021.
D’après communiqué