« En cas d’égalité des voix entre deux candidats en lice au second tour des élections législatives, la victoire est donnée au plus jeune ». A déclaré le porte-parole de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE), Mohamed Tlili Mansri, ajoutant que cette hypothèse est « peu envisageable ».
Il s’exprimait lors d’un point de presse, dimanche, au centre des médias au Palais des congrès de Tunis, consacré au suivi du déroulement des opérations de vote pour le tour des législatives 2023.
Evoquant la question des sièges vacants à pourvoir pour les circonscriptions à l’étranger (7 bureaux à l’étranger), le porte-parole de l’instance électorale a assuré « qu’au lendemain de l’annonce des résultats définitifs des élections législatives et après la réunion du nouveau parlement, on sera dans « l’obligation de légiférer par voie de lois et non de décrets-lois. »
Désormais, « c’est l’assemblée parlementaire qui est souveraine. C’est elle aussi qui se prononcera sur les modalités appropriées permettant de pourvoir aux sièges vacants des circonscriptions restantes. », a fait savoir le porte-parole de l’ISIE.
Mansri a, par ailleurs, souligné que le Conseil de l’ISIE est appelé à offrir toutes les conditions appropriées pour la réussite du scrutin.
Dans le cadre de la mission qui est la sienne, l’instance est appelée à informer l’électeur tunisien de la date des élections, à mettre à disposition les moyens logistiques et humains nécessaires ainsi que le matériel électoral et les bureaux de vote et à informer l’électeur de la teneur des programmes des candidats.
Avec TAP