Le cabinet d’audit KPMG fête cette année ses 50 ans d’installation en Tunisie. C’était en 1974.
Entre autres présents, Moncef Boussannouga Zammouri (président de KPMG), Rached Fourati, Dhia Bouzayen (Senior Partner de KPMG Tunisie), et un certain nombre de représentants des médias de la place, dont Hédi Mechri.
Objet de cette rencontre intime, parler de la création du cabinet KPMG Tunisie. Pour ce faire, la parole, en guise d’introduction, c’est Moncef Boussannouga Zammouri, lequel, en quelques mots, introduit l’objet de la rencontre puis la cède à Racheed Fourati, l’un des fondateurs de ce cabinet.
Ici on ne va pas rentrer dans les détails, mais ce dernier dira en substance que la création de KPMG Tunisie est une belle histoire, parce que la vie est souvent faite d’opportunités, de hasard, de chance parfois, mais aussi de déboires et de quelques problèmes.
On vous épargne les déboires pour arriver aux opportunités… pour M. Fourati. Il raconte à l’assistance que c’est au cours d’une deuxième partie d’un stage qu’il effectuait en France en 1971-72, que le cabinet où il faisait justement son stage a été choisi par la Banque mondiale pour auditer la dette tunisienne. Et c’est tout naturellement que le PDG du cabinet lui chargea, en tant que Tunisien, de chapeauter le dossier.
Après ce dossier, il décide de rentrer en Tunisie. « Et c’est là que j’ai compris qu’un réseau est quelque chose d’important, qu’être dans l’international c’est également formidable…».
Et c’est un coup de fil qui déterminera le reste.
On y reviendra.