C’est le montant attendu de l’impôt sur les bénéfices payés par les banques. A ce montant, il faudra ajouter au moins 70 MDT au titre de la contribution conjoncturelle imposée par la loi de finances 2024. Le seuil du milliard de dinars pourrait facilement être dépassé.
Le rôle des banques dans la mobilisation de ressources fiscales pour l’Etat est très important. Il y a aussi la TVA sur les différents types d’opérations, ce qui fait que nous parlons du premier contributeur aux recettes fiscales. A cela, il faudra ajouter les 10 % sur le dividende généreux qu’elles paient aux actionnaires.
Source: BE (L’Economiste maghrébin N°894)