Selon la radio Mosaïque Fm, la Chambre pénale du Tribunal de première instance de Tunis a condamné une « instagrameuse » à quatre ans et demi de prison et a rejeté la demande de libération de quatre autres « créateurs de contenu ».
Des mandats de dépôt ont été émis le 27 octobre à l’encontre de cinq créateurs de contenu (trois femmes et deux hommes) pour des accusations liées à « l’indécence et au harcèlement d’autrui via les réseaux sociaux », ainsi que d’autres accusations d’ordre moral. L’examen des affaires des quatre autres détenus a été reporté.
Le Tunisien doit-il apprendre à « bien » choisir les mots qu’il emploie sur les réseaux ?
Affaire à suivre !