Selon Harry Tchilinguirian, responsable des stratégies de la cotation des matières premières au sein du groupe BNP Paribas, la reprise de la production pétrolière en Libye a aidé à baisser les prix sur les principaux marchés internationaux des hydrocarbures. Notons que le prix du baril de Brent a maintenu un niveau inchangé d’environ 100 dollars le baril.
Et d’ajouter que l’avancement d’EIIL en Irak a rendu les compagnies pétrolières préoccupées par la flambée des prix du Brent qui aurait un effet négatif sur les marchés financiers.
Par ailleurs, « cette baisse a créé un dilemme auprès des pays membres de l’OPEP qui comptent arrêter la production du pétrole afin de stabiliser les prix du Brent », a affirmé Paul Christopher, stratège d’investissement au sein du groupe Wells Fargo Advisors.