Poursuivant l’objectif d’obtenir l’instauration d’un système plus démocratique dans leur pays, des milliers d’étudiants chinois ont lancé un mouvement baptisé « Occupy Central » depuis dimanche 28 septembre. Pendant trois jours consécutifs, le camp « Occupy Central » a été menacé de se voir dispersé par la force comme leur a déclaré le chef de l’exécutif hongkongais, Leung Chun-ying, qui a demandé aux manifestants de mettre un terme à leur manifestation sans fixer de délai, afin de faciliter le « fonctionnement normal de la ville ».
Les manifestants refusent de quitter les rues tant que les réformes politiques n’ont pas été acceptées. Les fondateurs de « Occupy Central » ont revendiqué l’instauration d’un système démocratique en Chine et une plus grande marge de liberté, comme leur avait promis le gouvernement.
Des pays occidentaux, tels que les Etat-Unis et le Royaume-Uni ont demandé au gouvernement chinois de modérer l’utilisation de la force suite aux événements de dimanche 28 septembre.