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En lisant: Tunisie : Mieux vaut voter ou s’abstenir?
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Leconomiste Maghrebin > Blog > Nation > Politique > Tunisie : Mieux vaut voter ou s’abstenir?
NationPolitique

Tunisie : Mieux vaut voter ou s’abstenir?

Leconomiste
2014/10/20 at 2:56 PM
par Leconomiste 6 Min Lecture
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On croit rêver ! Un autre rendez-vous avec l’Histoire : trois ans après le fameux 23 octobre 2011, date de l’organisation des premières élections pluralistes dans le Monde arabe, le 26 octobre 2014 sera certes un autre jour historique pour la Tunisie et pour tous les Tunisiens.

Trois ans après les élections du 23 octobre, le terrorisme et la récession économique ont marqué des points en Tunisie. Comme on l’a vu, le chômage, la dégradation de la qualité de la vie, la baisse du pouvoir d’achat, la dépréciation du dinar tunisien, la pauvreté, les revendications sociales, le déficit commercial… ne font qu’exacerber et entretenir un sentiment de désespoir.

Pire encore, la violence politique a sévi après les élections du 23 octobre 2011. Et pour la première dans l’histoire du pays, deux hommes politiques ont été assassinés. Ils ont payé de leur vie pour leurs opinions. L’affaire n’est malheureusement pas encore close !

Il serait exagéré de citer comme seuls coupables de ce grand désespoir l’incompétence des différents gouvernements transitoires. Nous sommes tous coupables et chacun de nous porte une part de responsabilité.

Mais qu’a-t-il de changé entre le 23 octobre 2011 et le 26 octobre 2014 ? Des électeurs voteront le 26 octobre, avec autant de détresse et de pessimisme qu’en 2011. D’autres s’inquiètent et n’ont pas encore décidé et ils s’interrogent : « Pour qui voterons-nous ? »

Les prochaines élections, même si elles n’ont pas encore eu lieu, font déjà date et mettront fin à des mois de doute. La Tunisie n’a jamais connu autant de candidats à la présidentielle dont trois d’entre eux étaient ministres de l’ancien régime.

Aujourd’hui, à près d’une semaine des élections, deux importants constats sont à souligner : la bipolarisation qui domine le paysage politique et le grand intérêt accordé à la présidentielle.

Sur le premier point, le sentiment général fait comme si les électeurs n’ont plus d’autre choix que de voter pour deux camps, à savoir ceux représentés par les deux grands partis en compéition Ennahdha ou Nidaa Tounes. La réalité du terrain est toute autre. D’autres partis sont en lice et pourraient créer la surprise.

Certains parlent d’une « confrontation époustouflante » entre Nidaa Tounes et Ennahdha qui n’a pas présenté son candidat à la présidentielle et veut juste reconquérir la prochaine Assemblée du Peuple. Même si cela ne devait pas être le cas, ce sentiment n’est pas le fruit du hasard. Ce climat de confrontation ne doit, en aucun cas, altérer les prochaines élections.

Ennahdha a déjà gagné les élections du 23 octobre 2011, chose qui l’a déjà placé parmi les grands partis. Ses principaux alliés au pouvoir, le CPR et Ettakatol, se sont beaucoup affaiblis. Mais cette fois-ci le rapport de forces a beaucoup changé. Aucun parti n’est aujourd’hui sûr d’être le prochain gagnant. Ce constat donne des chances à toutes les autres formations politiques.

L’émergence sur la scène politique tunisienne de nouveaux partis et alliances, notamment le parti Nidaa Tounes, a rééquilibré le jeu démocratique. Toutefois, l’image de ce nouveau parti centriste est ternie par la présence de certaines figures de l’ancien RCD. Cela pourrait beaucoup minimiser ses chances lors des prochaines élections, même si son premier adversaire ne fait pas l’exception sur ce point.

S’agissant de l’intérêt accordé à la présidentielle au détriment des législatives, les débats électoraux étaient focalisés sur les personnes plutôt que sur les programmes des partis. Les profils, le grand nombre des candidats, les médias et l’entrée avant la lettre en campagne électorale présidentielle ont fait oublier aux électeurs l’importance des élections législatives.

Toujours est-il que le grand risque pour les prochaines élections n’est ni la présence de deux grands partis sur la scène politique, ni le choix des électeurs. Le grand risque pour cette démocratie naissante est le taux d’abstention. Toutes les inquiétudes sont là. Les politiques, les candidats et les partis craignent tous un taux d’abstention élevé. Cela aboutirait à une tragédie pour tout le pays. Les efforts consentis par l’ISIE et certaines associations de la société civile en vue d’encourager les citoyens à participer en grand nombre au vote témoignent d’une grande appréhension quant au boycott des urnes.

Dans tous les cas de figure, les résultats des urnes façonneront l’avenir du pays. La transition démocratique en Tunisie est entrée dans son étape décisive. Le peuple tunisien marquera dimanche prochain la fin de la période transitoire et confirmera que le pays est capable d’être maître de son destin et celui des futures générations. Le peuple tunisien se doit d’aller voter en masse. La grande gagnante devra être la Tunisie et non pas les partis politiques.

Il faut construire une Tunisie nouvelle. Pensons au lendemain des prochaines élections et aux futures générations. C’est la Tunisie qui doit triompher parce que les cinq prochaines années seront décisives pour ce pays. La réussite des prochaines élections incombe en premier lieu au taux de participation des électeurs. L’abstention de certains ne fera que favoriser indirectement la réussite d’autres qui ne cherchent qu’à récupérer des sièges dans la prochaine Assemblée du Peuple. Oublions nos malaises, nos déceptions, nos désespérances et nos différences. Voter est un droit et un devoir. Vaut mieux voter plutôt que de s’abstenir. Après le 26 octobre, il ne servira à rien de se plaindre et de pleurer comme une Madeleine.

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MARQUÉE: Actualité tunisie, campagnes électorales, chômage, élections, Ennahdha, gouvernements transitoires, ISIE, Nidaa Tounes, Présidentielle, transition démocratique, Tunisie
Leconomiste 20 octobre 2014
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1 Commentaires
  • Jamahiri Green dit :
    21 octobre 2014 à 6h19

    Le problème est la PERSISTANCE d’un parti islamiste hors-la-loi à la fin du scrutin. Pourquoi « hors-la-loi »? Parce que le statut républicain tunisien n’a jamais prévu et admis un « parti islamiste ou basé sur la confession religieuse ». La réapparition triomphale d’Ennahdha en 2011 a été un calcul politique du cabinet Obama et des puissantes lobbys bancaire -industriel qui visait déjà à un « effet domino » dans la région MENA, déstabiliser les Etats Nations nord-africaines et du Levant pour créer un bloc sunnite conservateur, le ‘califat’, sous sponsor US et naturellement le droit de réjouissance des ressources. « Colonisation indirecte », le grand jeu impérialiste anglo-américain depuis la traîtrise (programmée) de De Gaulle envers l’Algérie française et le lâchage d’un million d’européen dans le mains sanguinaires du FLN.
    Donc le meilleur choix est boycotter les élections et procéder à une véritable RÉVOLUTION populaire pour réclamer les droits du peuple comme en Egypte, « démocratie directe », éventuellement appuyée au Front populaire et éclat de force dans l’armée -face au terrorisme qu’Ennadha a positionné en Libye et au Chaambi (pratiquement un siège aux frontières…). Une deuxième option est voter massivement pour le Front populaire, car il peut casser l’alliance programmé par les US entre Ennahdha et Nidaa. Voter entre les deux équipes « fortes » renforcera le programme US d’Obama d’imposer l’islamisme et continuera la descente aux enfers qui fera de la Tunisie une déuxième Libye, « terre de conquête » impérialiste du Qatar…

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